C’est l’envie du voyage qui nous a poussé à créer TREVE : une épopée, mais pas n’importe laquelle. Nous voulions que notre voyage européen ait du sens. En tant que jeunes étudiants, nous vivons l’urgence de (re)construire un futur commun, au-delà des frontières. Au vu de nos penchants personnels concernant la question de l’écologie, il nous semblait intéressant de nous intéresser au sujet des énergies renouvelables : quelles sont, aujourd’hui les contraintes qui limitent leur développement ? Pour ce, nous allons parcourir l’Europe et partir à la rencontre de divers acteurs de l’énergie, le tout au volant d’un véhicule propre.
Nous travaillons sur ce sujet depuis plus d’un an. D’abord à deux : Lola Salem et Damien Moulin, élèves à l’École normale supérieure, respectivement en arts et en physique. Puis l’équipe s’est développée, intégrant divers élèves et professeurs de PSL (Paris Sciences et Lettres), qui nous soutiennent dans notre démarche scientifique. Devant l’ampleur du projet, nous partons finalement à trois, en compagnie de Louis Daumas, également élève à l’ENS en économie.
Diverses contraintes nous ont amenés à bâtir notre itinéraire. Tout d’abord, les disponibilités en bornes de recharge de véhicule électrique, assez disparates selon les pays. Puis une limite de temps qui nous a obligés à concentrer notre enquête de terrain sur presque 5 mois (de mai à septembre 2017). C’est donc l’Europe occidentale qui sera le théâtre de nos opérations : nous prévoyons d’aller à la rencontre d’une centaine de personnes et de lieux à travers 17 pays, en passant du Portugal à la Norvège et de l’Irlande à l’Autriche.
Durant l’ensemble de notre voyage, nous produirons de nombreux témoignages, non seulement relatifs à notre problématique d’enquête, mais reflétant aussi l’expérience de ce périple. Sur notre site internet ainsi que les réseaux sociaux (Facebook, Twitter, Instagram, Youtube), nous délivrerons le plus régulièrement possible les avancées de notre travail et resterons également en contact avec la communauté qui nous suit. En point final, nous organiserons un séminaire de recherche à l’ENS, exploitant nos résultats, ainsi qu’une exposition, qui nous permettra de remettre en forme, de manière plus sensible, l’expérience qu’aura été TREVE. Enfin, nous projetons d’éditer un web-documentaire, également basé sur le matériel collecté pendant l’enquête.
Conduire une Renault ZOE nous permet, en premier lieu, de respecter nos convictions premières vis-à-vis de l’environnement : il nous semblait donc logique d’utiliser le transport le plus propre possible, tout en gardant une certaine souplesse de déplacement dans notre voyage. L’autonomie de la Renault ZOE nous a bien évidemment séduits. Le réseau européen de bornes de recharges électrique se densifiant de plus en plus, c’est une sorte de pari que nous faisons et que nous souhaitons intégrer à part entière dans le compte-rendu de notre témoignage !
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